De l'affiche dans un musée! Et un affichiste qui n'est pas mort!
Après Antoine et Manuel, Michal Batory dévoile une rétrospective de son travail au musée des arts décoratifs. Une exposition magnifique réunissant plus d'une centaine d'affiches qui séduira amateurs d'image et de poésie.
Michal Batory est né en 1959 en Pologne. Il arrive à la fin des années 80 à Paris et réalise ses premiers travaux pour le théâtre de la Colline. Sa rencontre avec l'affiche se fera que très tardivement, en 1994. Très bon dessinateur, grand photographe, son style tel qu'on le connait aujourd'hui prendra forme dans les années 90. Proche du surréalisme, Michal Batory reste une des dernieres figures de l'affiche polonaise tout autant honoré dans son pays qu'en France.
Après Antoine et Manuel, Michal Batory dévoile une rétrospective de son travail au musée des arts décoratifs. Une exposition magnifique réunissant plus d'une centaine d'affiches qui séduira amateurs d'image et de poésie.
Michal Batory est né en 1959 en Pologne. Il arrive à la fin des années 80 à Paris et réalise ses premiers travaux pour le théâtre de la Colline. Sa rencontre avec l'affiche se fera que très tardivement, en 1994. Très bon dessinateur, grand photographe, son style tel qu'on le connait aujourd'hui prendra forme dans les années 90. Proche du surréalisme, Michal Batory reste une des dernieres figures de l'affiche polonaise tout autant honoré dans son pays qu'en France.
L'exposition est très grande (trop). Elle permet de s'immerger dans son univers et d'y décoder le sens de ses images ainsi que leurs constructions.
La première pièce donne un ton très intimiste et personnel à l'exposition; la scénographie reprend les murs de son atelier, des objets apparaissent et se confrontent aux affiches. On y découvre des assemblages de fleurs fanées, d'objets en tous genres. L'image est disséquée et l'artiste nous fait accéder à ses recherches, à ses carnets de recherches ou à des dessins réalisés lors de ses études. On y ressort la tête dans les images..
La première pièce donne un ton très intimiste et personnel à l'exposition; la scénographie reprend les murs de son atelier, des objets apparaissent et se confrontent aux affiches. On y découvre des assemblages de fleurs fanées, d'objets en tous genres. L'image est disséquée et l'artiste nous fait accéder à ses recherches, à ses carnets de recherches ou à des dessins réalisés lors de ses études. On y ressort la tête dans les images..
En espérant que cette exposition donne à l'affiche un autre statut qu'elle connait aujourd'hui et que les dirigeants d'organisations culturelles prendront conscience de la culture et du savoir faire qui existe dans ce pays.
Jusqu'au 30 avril 2010,
107, rue de Rivoli 75001 Paris
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